
Après une édition spéciale Voiture en 2011, puis un hommage à la Casa Malaparte (avec ses lunettes aux détails inspirés de l’architecture de la fameuse villa de l’écrivain italien, à Capri) en 2012, l’opticien Persol écrit un nouveau chapitre dans une veine littéraire très réussie.
Cette saison, le romancier américain Bret Easton Ellis pose, bésicles sur nez, nonchalamment étendu sur un lit jonché d’épreuves de tapuscrit. Le modèle « Typewriter » de Persol rend un hommage appuyé aux machines à écrire à touches circulaires (Underwood, Remington) : montures arrondies, ponts ornés de fines lignes, branches incisées en éventail…
La campagne publicitaire se veut « digne d’un roman ». De fait, passionné par la mode et la création industrielle, Bret Easton Ellis a activement collaboré avec Persol pour imaginer le design vintage de 4 nouveaux modèles de lunettes : deux solaires (PO3108S ou PO3110S) et deux optiques (PO3109V et PO3107V) aux détails aussi léchés qu’une description du sulfureux romancier vivant entre NY et LA. Ainsi, le nom du modèle est inscrit à l’intérieur de la branche dans la police de caractère « Americain Typewriter » adoptée pour l’occasion. Ou le souci du détail porté à son comble…
Lunettes optiques : 230 € ; solaires : 200 €.
www.persol.com